A la veille du 101eme anniversaire de l’Armistice, j’ai été frappé par l’interview du président francais Emmanuel Macron au hebdomadaire The Economist, et notamment sur ses déclarations sur l’OTAN.
Ces affirmations ne sont pas dans l’esprit qui a mené la France républicaine à la victoire dans la Grande Guerre. C’est un visage contorsionne d’une Europe qui n’a rien à faire avec les valeurs européennes. Et malheureusement, le président français fait un effort pour aider ceux qui ne vont pas que la France anime les nations de l’Europe à poursuivre les idéaux de l’illuminisme. Ce que Emmanuel Macron dit aujourd’hui c’est fondamental diffèrent face à son discours du centenaire de l’armistice.
A la veille du 30eme anniversaire de la chute du mur du Berlin je craints que les mots du Président Macron expriment pleinement les objectifs des ceux qui bâtissent des murs aujourd’hui. Je ne sais pas (quand même je peux soupçonner qu’il veut réaliser une „construction” avec la Russie du Vladimir Putin) s’il sait combien des amis et des sympathisants il perte en Europe. Il a déjà commencé à le faire avec son veto aux commencement des négociations d’adhésion à l’UE de l’Albanie et de la Macédoine du Nord.
Emmanuel Macron a commencé cette année, dans le mois d’aout, à parler plus étroit avec Vladimir Putin. Il est préoccupé des angoisses sécuritaires du Kremlin. Rien plus faux.
Il persévère en disant que l’OTAN a failli un ”aggiornamento” dès ses taches une fois le Pacte de Varsovie est disparu. C’est une manière différente d’exprimer ce que le Président américain a dit dès qu’il a été nome candidat, en 2016 : « NATO is obsolete ».
En cas qu’il ne veut pas écouter l’opinion des experts français (au contraire de ce que la légende russe dît, la France à des experts qui savent qu’est-ce que l’OTAN représente), je voudrais lui dire que l’OTAN à revu son concept stratégique plusieurs fois après 1989.
La première fois en 1991 au Sommet du Rome (mais la première fois a été discuté au Sommet du Londres, en 1990), après en 1999, et en 2010.
Mais je craints qu’il s’en fout de l’opinion de ses experts; il a peur que les gilets jaunes prennent les rues et les points ronds une fois de plus et il veut trouver le chemin plus court pour empêcher ce scenario. Rien plus erroné. Cette manière d’agir sera la recette sure pour achever le rêve de ceux qui ne lui sont des amis sinceres. Il me semble que le président français n’est pas ni à la hauteur de la mémoire de ses ancêtres et ni à la hauteur des temps qu’il vive. En poursuivant ce chemin, Emmanuel Macron essaye d’achever plusieurs objectifs des ennemis de l’Europe puissante, c’est à dire:
• Affaiblir en plus la relation franco-allemande, le modèle de la réconciliation qui sert encore comme l’exemple à suivre pendant les dernières décennies par assez des nations.
• Multiplier les voix qui demandent l’abandonnement des arrangements de sécurité en Europe et qui veulent démanteler la relation transatlantique en chassant les Etats Unis hors de l’Europe. C’est que le président Macron a nome il y a 2 années ”les passions tristes de l’Europe”. Je constate qu’il a fini en être soumis par ces passions.
• Introduire assez maladroit l’idée que les actions de la Turquie embarrassent l’OTAN, en soulignant assez perfide qu’il aime pas/ plus l’OTAN. Ça démontre que le Président français manque les habilités fondamentaux en matière de politique étrangère de la fonction qu’il a gagné.
Les derniers 30 années j’ai vécu tous les jours avec le sentiment que je suis fortune de vivre un moment astral de l’histoire. Aujourd’hui je me rends compte que j’ai eu raison, même si cette anniversaire n’est pas ainsi heureuse que je l’avais désiré.
Ce n’est pas grave. On fête les mêmes moments glorieux: la chute du mur du Berlin et la chute du communisme. Cette victoire est difficile à préserver. Mais nous vaincrons avec les gens de bonne volonté.
Photo : Emmanuel Macron a Sibiu, Roumanie, 2019 (by Radu Tudor)